À partir de cet instant nous ne désignerons plus les Maso que par la seule lettre M. Mais avec respect.
À propos de la soumission féminine, nous parlons ici de relations ludiques entre partenaires consentants, et non pas des centaines de millions de femmes qui, pour des motifs sociaux-culturels, religieux ou psychologiques, subissent des violences de la part de la société, de leur famille ou de leur conjoint.
Voici quelques règles pour la pratique du sexe BDSM qui ne manque pas d’humour aussi …et qui peuvent servir….
Travesti soumis
Porter une paire de bas noirs et un string devant la maîtresse est souvent le premier pas vers la féminisation d’un homme qui a envie de se sentir soumise plutôt que soumis, faut oser. Le look kitsch, voire grotesque, passe mieux lorsqu’on a choisi la soumission habillé en femme, plutôt que le rôle de dominateur travesti, puisque l’humiliation fait partie du jeu. Là où un dominateur doit s’imposer, un fv1 travesti peut se permettre un maquillage tape-à-l’oeil et une minijupe qui boudine, donnant ainsi prétexte à des humiliations supplémentaires. Si vous choisissez ce rôle, vous voudrez vous sentir femme jusqu’au bout des ongles. C’est l’occasion de vous approprier toutes les parures normalement réservées à votre copine, du porte-jarretelles aux boucles d’oreille en passant par le rouge à lèvres passion et les talons de 12 centimètres. De s’habiller en écolière ou en soubrette, ou encore en femme BCBG, avec, en sautoir, le collier de perles que vous empruntiez autrefois à votre mère. C’est encore meilleur lorsqu’on a une mère complice ses côtés votre dominatrice qui vous regarde évoluer dans cette tenue. C’est elle qui vous donnera des conseils pour marcher comme une femme, sans ployer le genou, ou tenir votre sac à main comme s’il s’agissait d’une serviette éponge. Homosexuels, attention ! Vous ne serez pas acceptés, dans les boites gays, où la féminisation est totalement exclue.